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RIO DE JANEIRO

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 Rio de Janeiro

 

[box type= »info »] Dans l’ordre des 3 plus belles villes du monde selon un classement établi par la patronne de l’Arantiga d’Ilha Grande, Rio de Janeiro serait la plus belle ville du Monde devant Sydney et Cap Town. Et Strasbourg non ? lui demandais je benoitement. Vous savez , la capitale du « Big-East » me suis je permis d’ajouter . Non, ces yeux ronds me laissent penser qu’elle ne connaît pas « La petite France », par contre, elle ne tarie pas d’éloge sur Rio, la ville où il fait vraiment bon vivre, une ville aussi grande qu’un département français avec une baie immense tellement immense que les premiers explorateurs arrivés en janvier croyaient à l’embouchure d’un fleuve d’où le nom ( Rivière de janvier!) , un climat exceptionnel (comme à Nice ), de la forêt au centre ville, des plages à perte de vue, etc…..

Mais visiter Rio en 2,5 jours c’est un peu short, d’autant qu’un jour était férié ce qui veut dire que les musées sont fermées, donc des choix s’imposaient:

  • Jardin botanique
  • Corcovado
  • Ipanema et Copacabana
  • Lapa et Escadaria Selaron
  • centre historique
  • Santa Thereza et Ipanema de nuit

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[one_half]Voilà, on prend le bateau de retour vers Angro de Reis où un transfert nous amènera à notre B&B à Santa Thereza mais le transfert a du retard et on arrivera au milieu de l’après-midi à Rio.

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Le pain de sucre  

 

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Du coup, on prend un taxi et on file vers les pains de sucre. Personnellement, je n’ai jamais vu de pain en sucre mais il y en a des paquets de pain de sucre dans le monde

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    1. Le Pain de Sucre, pic du massif d’Escreins à la frontière franco-italienne ;
    2. Le Pain de Sucre, un îlot volcanique à Madagascar ;
    3. Le Pain de Sucre, piton volcanique de l’archipel des Saintes (Antilles françaises) ;
    4. Le Pain de Sucre, éperon rocheux (grès) (671 m) en rive gauche de la Plaine sur la commune de Celles-sur-Plaine (Vosges) ;
    5. Le Pain de Sucre, une butte-témoin de 350 m située à Dommartin-sous-Amance, à l’est de Nancy (Lorraine) ;
    6. Le Pain de Sucre, une montagne de 792 m située dans les environs de Sumène, au sud des Cévennes, dans le Gard (France);
    7. Le Pain de Sucre, petit sommet du massif du Jura (755 m) situé au nord de Saint-Claude (France);
    8. Le Pain de Sucre, petit sommet de Nouvelle-Écosse au Canada (420 m) ;
    9. La cascade du Pain de sucre, dans l’Ain ;
    10. Le Pain de Sucre renversé, une maison à colombages allemande ;

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Finalement, le nom de pain de sucre vient d’une interprétation erronée de Pau-nh-Acuqua (promontoire pointu). Voila pas mécontent d’avoir rétabli la vérité. Pour accéder au pain de sucre, il faut prendre 2 tailaifériques mais la vue là haut sur la baie de Rio est superbe.

 

 

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P1170545 [one_half]P1170550[/one_half][one_half_last]P1170537[/one_half_last] [one_half]P1170544[/one_half][one_half_last]P1170538 Mais là c’était que le hors d’œuvre, car on monte au deuxième pain en sucre également [/one_half_last]

[one_half]P1170555 Vu sur l’aéroport Santos-Dumont, sur Copacabana, sur le mur de signatures et un coucher de soleil sur le Christo Redentor[/one_half][one_half_last]P1170561[/one_half_last]

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Le Jardin Botanique

3 * dans le guide Bibendum, c’est le plus grand parc de Rio avec palmiers royaux et collections de bromelias ( vous chercherez, comme moi ce que c’est dans le dico, bande de flemmards),  plantes carnivores aromatiques et orchidées

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  Voila les plantes carnivores dans la première rangée, les orchidées dans la 2ème, les animaux au 3ème

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Puis comme dans beaucoup de lieu au Brésil,les femmes enceintes, les futures mariés se font photographier

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  Corcovado

[box type= »info »] C’est en regardant le Lonely Planet qu’on a eu l’idée

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Allez on s’est lâché pour 150€ les 15 min: c’est un spectacle extraordinaire, unique et original: seul petit problème et il est de taille, il faut être 3 . Ce qui fait que soit vous payer pour 3, soit vous attendez un touriste riche mais seul mais vous pouvez attendre un bout de temps (nous on a attendu la 1ere fois 45 mn, la deuxième fois quelqu’un nous attendait..); il est midi il fait beau mais avec un peu de brume (fog ?) sur la ville. On part du lagon sorte de grand lac bien connu des joggeurs puisque le tour fait 7 km. Le tour d’hélico va d’abord vers le pain de sucre, puis vers les plages et enfin vers le Christ rédempteur

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C’est tout expliqué là —–>helico_brésil

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LE MARCHE D’IPANEMA

Cuisine Bahianaise

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Art populaire ?

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  IPANEMA et COPACABANA

 

[box type= »info »] Nous voilà donc sur les plus belles plages du Brésil: mais il ne faut pas s’attendre à une plage vide et  sans fin; c’est plutôt le contraire….Bon normal c’est dimanche aujourd’hui.  [/box]

 

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[box type= »info »]D’ailleurs aujourd’hui la marée est basse et il n’y a que très peu de vagues….. [/box]

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[box type= »info »] les 5000 cariocas assistent à un sauvetage en direct  [/box]

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Mais on est un peu nerveux malgré la présence de balaises  (comme moi Big Smile) tous les 50 m[/box]

 

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Allez Direction—>   P1170983   [box type= »info »]

On ne peut pas rejoindre Ipanema  et Copacabana en suivant la plage. On est obligé de revenir vers une avenue pour atteindre Copacabana qui est largement plus calme: là on paddle et on boit des caïpirinha[/box]

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[box type= »info »] La plage est effectivement très encombrée….. [/box]

 

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[learn_more caption= »Article des DNA à ce sujet, eh oui…. « ]DNA-Copacabana_a[/learn_more]

 

 

[box type= »info »] Dernière image: AMOR NO COPACABANA  [/box]

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  LAPA

 

[box type= »info »] Bon fini de rigoler; il est 16H ce dimanche et on retourne vers Santa-Theresa. On s’arrête à Lapa au niveau de l’Arcos da Lapa grand aqueduque blanc qui amenait l’eau à rio et qui amène maintenant des touristes par un vieux Tramway à Santa-Théresa. 

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Sur la place on joue un groupe brésilien dans le style carnaval de Rio  hein ? ah bon c’est normal ? on y est ? [/box]

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  [one_third]P1180097[/one_third][one_third]P1180101[/one_third][one_third_last]A gauche, l’église de Lapa qui comme vous l’avez très judicieusement remarqué, cher lecteur, n’a qu’une tour: une simple histoire de taxe que l’Eglise n’a pas voulu payer les taxes sur la 2ème tour, on se croirait chez nous non ? A Lapa on ne se lasse pas d’admirer dans les rues les œuvres de ces artistes anonymes qui à l’aide de quelques bombes ( non puantes et non explosives) transforment la rue en véritable musée d’art gratuit;  c’est ce qu’ on appelle « l’art de le rue »[/one_third_last]

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[box type= »info »] Puis on se dirige vers l ‘escadaria Selaron, nom d’un artiste chilien Selaron mort en 2013 qui a fait un escalier de 215 marches uniquement avec 2000 carreaux de faïence  de 120 pays différents  [/box]

 

[learn_more caption= »Pour en savoir plus…. »]Les escaliers Selarón, entièrement ornés de faïence de couleurs, tout le monde connait, tout le monde les a pris en photo. Mais qui se cache derrière cette pièce unique ? Allons faire connaissance avec le singulier personnage au passé trouble : Jorge Selarón Tout bon carioca qui se respecte est déjà passé au moins une fois devant ces fameux escaliers décorés de faïences à Lapa et y a surement trouvé, assis sur les marches en train de peindre, un énergumène caché derrière une moustache à la Dali. Lui, c’est Selarón, chilien d’origine, carreleur-peintre-sculpteur-globe-trotter, j’en passe et des meilleures. Son œuvre : « les escaliers les plus originaux du monde » pour reprendre ses termes, sur lesquels il travaille depuis 20 ans. En effet, on ne peut nier l’ampleur du labeur : 125 mètres de haut, 215 marches, plus de 2.000 faïences venues de 120 pays différents. On a quitté la sphère de l’hurluberlu qui décore sa terrasse à l’aide de nains-de-jardin. Selarón s’est attaqué à une rue entière, une œuvre gigantesque dans laquelle s’échine quotidiennement, « un rêve fou et unique qui prendra fin avec ma mort » nous dit-il. « C’est mon tribu au peuple brésilien ». Parmi les carreaux de faïence qui ornent l’escalier, plus de 300 sont de sa main, une patte bien reconnaissable, un style tout à lui. Son fil rouge : les favelas et une femme enceinte noire, sa folie, son obsession, le drame de sa vie. Parfois représentée avec le visage de l’artiste en un télescopage schizophrène, cette femme-hybride est le thème de prédilection qui a nourri près de 30.000 œuvres. En 1977, il s’était promis de peindre une femme enceinte par jour. Dix ans plus tard, elle apparait sur toutes ses productions ou presque et en novembre 2007, le délire atteint son paroxysme : il peint 365 femmes enceintes dans la journée. Aujourd’hui, les escaliers de Jorge Selarón, dont tout le monde à oublié le vrai nom, sont devenus une attraction touristique. Son œuvre apparait dans de nombreux magazines, dans des publicités, des clips musicaux et les voyageurs du monde entiers s’y arrêtent afin de chercher un petit bout de carrelage qui vient de leur pays. « J’ai toujours rêvé que chacun d’entre eux m’envoie une faïence de son pays, pour inclure dans mon escalier un rêve que j’ai toujours cru possible ». Alors, lors de votre prochain passage en Europe, mettez dans votre valise un petit bout de chez vous et portez-le lui. Et vous aussi, vous rentrerez dans l’histoire de Rio de Janeiro. Lauriane WHITTAKER (www.lepetitjournal.com – Rio de Janeiro) jeudi 7 juillet 2011 P1180105 P1180104     [/learn_more]

 

Mais avant d’y arriver il faut trouver cette escalier en passant par des rues disons craignosses  mais décorées par la main d’œuvre locale…

 

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Et là en dessous qu’est ce qu’on a pas trouvé ? Un carreau de Soufflenheim !!

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       Le centre historique

 

[box type= »info »]On a du bol. Malgré le jour férié, on peut participer à une Visite deu centre historique de Rio.[/box]

[one_third]P1180090[/one_third][one_third]P1180091[/one_third][one_third_last]On commence par le theatro municipalo qui n’est pas sans rappeler l’Opéra de Paris (normal les archi étaient french) et son aigle doré qui n’est pas sans  rappeler également son homologue germain[/one_third_last]

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On continue par le seul cinoche restant de la capitale qui n’est pas sans rappeler les cinoches populaires parisiens  » l’Odéon »; les bâtiments ne  sont pas non plus sans rappeler le style art déco américain. Hein ? mon style n’est pas sans rappeler le style des bouquins qui trainent d’habitude dans les sanisettes ? Vous faites bien de me le rappeler… [/one_third_last]

 

La cathedrale Metropolitanade Sao Sebastiao

 

[box type= »info »] C’est une superbe surprise que cette cathédrale qui ne paye pas de mine de l’extérieur ( un cône en bêton..) et qui est pourtant très décrié. 20000 personnes dont 5000 peuvent y prendre place, ça aussi c’est incroyable. De plus ici pas de clime: l’aération se fait naturellement par des espèces de vantaux tout autour

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[one_third]P118015a7[/one_third][one_third]P118014a7[/one_third][one_third_last]Puis dernier arrêt dans la confiserie Colombo (comme Peter Falk …« Vous savez, ma femme, parfois, elle me dit toujours : c’est quand que tu deviens commissaire et que tu te fais augmenter ? Des fois, elle n’est pas con, ma femme…  »  Laughing) pour déguster je ne sais pas combien de sorte de Folhado que nous mangerons à Santa theresa [/one_third_last]

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  SANTA-TERESA

 

[box type= »info »] Santa Teresa, c’est le Montmartre de Rio de Janeiro, en moins chic et en moins touristique. Situé en hauteur, loin du tumulte du centre, Santa Teresa est accessible en tramway (le bonde). P1180109

Il est habité par des artistes qui se sont installés dans des demeures cossues abandonnées quand Santa Teresa a été cerné par les favelas.

le plan est ici —>plan_rio_santa_teresa

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Musau Characa do Seu

 

[box type= »info »] Petit mais sympa, avec ses sculptures modernes [/box]

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On s’arrête dans un petit resto pour manger une feijoada.

[learn_more caption= »La feijoada« ]

La feijoada

Ce plat typique de Rio de Janeiro se déguste traditionnellement le samedi. À l’origine, les parties les moins nobles du porc étaient laissées aux esclaves qui les faisaient cuire avec du haricot noir (feijão) . Aujourd’hui, la feijoada se compose de côtes de porc, de saucisses fraîches ou fumées, d’abats, de pieds ou d’oreilles de porc, cuits à l’huile et relevés avec de l’aïl, de l’oignon et du laurier. L’accompagnement indispensable est le riz blanc, le chou vert servi avec des lardons frits et la farofa (farine de manioc cuite au beurre jusqu’à être dorée) et une pincée de sauce pimentée. [/learn_more]

 Et là, grosse surprise car dans cette gargotte choisie au hasard, on entend au fond un chanteur qui chante ( bon fallait s’y attendre) des chansons ( fallait aussi s’y attendre) de Nougaro et re-surprise des femmes commencent à chanter en Français avec lui, comme quoi y a pas que Zidane qui est connue au Brésil…

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Bonsoir Madame !

Mais comme on a pas du tout envie de se coucher, on va boire un coup et là au Brésil, y a qu’à aller au coin de la rue boire de la caïpirinha

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[learn_more caption= »Caïpinrinha »]

Ingrédients / pour 1 personnes

  • Pour un verre :
  • 5 cl de cachaça (rhum brésilien)
  • 1 citron vert
  • 2 à 3 cuillères de cassonade
  • 4 glaçons pilés

Réalisation

  • Difficulté
  • Préparation
  • Temps Total
  • Facile
  • 5 mn

Préparation Caïpirinha

1 Couper le citron en 8 quartiers, et le piler dans un verre avec la cassonade.

2 Verser la glace pilée et la cachaça dans le verre et mélanger jusqu’à dissolution du sucre. Servir aussitôt.

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Brésil

 

Prochaine étape : [button link= »http://frenchfreys.fr/?page_id=11903″ type= »big » color= »teal » newwindow= »no »] CHAPADA DIAMANTINA[/button]

 

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