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Le Vol
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Et Hop, on se casse !
L’aller en avion se fait par Amsterdam par KLM et Sao Paulo : c’est comme l’éternité, c’est long surtout à la fin…mais bon moyennant quelques videos et un bon livre on s’en tire.
Buenos Aires a 14 millions d’habitants: personnellement cela ne me dit rien mais quand on voit la ville du haut, on comprend que ça fait beaucoup.
A l’arrivée, grosse surprise : tous les bagages sont là , pas de temps d’attente au taxi grâce à une organisation très rodée ( on paye son trajet à un guichet et on vient vous chercher ) et en 30 minutes on est à notre hôtel à San Telmo
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Saint Telmo
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San Telmo où se trouve notre hôtel, est un quartier calme avec pleins d’antiquaires et de libraires à 10 min du microcentre et à 30 mn de Pisarini
Une pharmacie très typique à Monserrat Rue Alsina
Puis l’église San Francisco qui me laisse à penser que, vu l’état du coussin, l’Argentin a soit des genoux calleux soit a pas mal péché…
L’université des « ingénieurs » avec de curieuses statues
Et les petits resto sympa où l’on boit de l’eau gazeuse en mangeant des tortillas.
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Le centre de Buenos Aires
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Malgré ses 14 millions d’habitants, on se sent très rapidement assez à l’aise à Buenos et on comprend vite les transports, on se familliarise avec les quartiers, bref on se sent comme un habitant de Buenos Aires et donc comme un …..??…..Porteno bravo !! Finalement on est un peu comme à Paris ou dans une grande capitale européenne: on est pas vraiment dépaysé avec ses nombreuses boutiques, sa zone pietonne et une architecture assez européenne
tiens une manife de sans papiers comme chez nous
Une zone piétonne marrante, les cireurs de chaussures, des banques
Le ministère de l’intérieur vu de l’extérieur
Pour porter plainte au ministère de la justice, il faut être très, très patient…
Pour visiter la ville, on utilise le « Drop on- Drop off » càd on monte dans un bus (en haut de préférence) et on descend lorsque on en a envie ; on voit la vie d’en haut
On croise des bus d’enfants (mais quel est donc ce blaireau à gauche qui photographie n’importe quoi ?? )
Des bus électoraux , des boucheries …
Des stands de « bouffe » qui rendent Fabienne nerveuse à l’heure du déjeuner et des « nounous » à chien (unique !)
sans oublier les « Galeries Lafayette » locales et les taxis jaunes
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Place Mayo, Casa Rosada, Café Tortoni
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Plaza Del Mayo: c’est la place centrale de Buenos, c’est à cet endroit que se déroula la Révolution de mai, qui aboutit à la proclamation de l’indépendance de l’Argentine le 9 juillet 1816.
Nous on l’a appelé « porte maillot » .
C’est aussi le lieu de revendications sur la guerre des Malouines
Madres de Plaza de Mayo
Tous les jeudis aprem se réunissent et ce depuis 1977 les mères de la place mayo : ce sont les mères qui ont perdu un de leurs fils lors de la dictature entre 1976 et 1983.
D »après ce que j’ai compris en espagnol (càd pas grand chose), il y a l’assoce des « mères fondatrices » et celle des » mères de la place mayo » qui défilent tour à tour sur la place tous les jeudis.
C’est un des grands moments de ce voyage, car c’est assez émouvant de voir ces vieilles dames manifester finalement pour savoir ce que sont devenus leurs fils.
Voila 36 ans qu’elles tournent inlassablement autour de la pyramide, combien de temps cela va t il duré ?
La casa Rosada: c’est la résidence de Mme la présidente de la republique, Mme Kritschner (oui oui c’est une femme) ; en fait la femme de l’ancien président décédé; et si cela se passait chez nous ? Ségolène ou Trierweiler ? Glups …
Bref , la casa rosada comme son nom l’indique est rose avec 2 explications: l’une politique ( association de 2 parties politiques un rouge et un blanc; chez nous si les coco s’alliaient aux verts il faudrait repeindre l’Elysée en ….) l’autre plus simple : c’est tout simplement la couleur du crépis .
Sur la droite se trouve le musée du Bicentenaire, très interessant: on peut y suivre l’évolution (agitée) de l’Argentine du péronisme aux généraux et à l’apprentissage de la démocratie.
Ici un tableau réalisé par un franco-argentin Numa Ayrinhac né dans l’Aveyron en 1881
Evita Peron garde une véritable aura, car elle a eu une très grande influence pour l’obtention de la plupart des acquis sociaux du pays, notamment le vote des femmes, la sécurité sociale, les congés payés et plus largement les droits des travailleurs et le rôle des syndicats.
Belle femme.
Les 2 intérêts de la cathédrale à côté de la place Maillot, sont d’une part qu’elle ne ressemble pas à une cathédrale mais plutôt à un batiment comme notre assemblée nationale et d’autre part la relève de la garde qui pose devant le tombeau du Libertardor de la patrie, José de San Martin..
Le café Tortoni :
ça nous rappelle les cafés autrichiens. C’est « LE CAFE » de Buenos Aires avec sa verrière et ses décoration de tableaux .On prend des « Churros » sorte de beignets et du chocolat concentré que ‘on mélange au lait.
Et dire que j’ai bu un chocolat là où Gabriela Sabatini en a pris un, j’en suis encore tout retourné !
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La Boca et le caminito
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Le café « El pasado » : il date, dit-on, de 1880
Au passage nous faisons don au café de notre guide vert. Y a rien à faire, faut toujours qu’on oublie quelque chose, quelque part.
C’est ainsi, mais en tout cas on se retouve dans un pays où on comprend pas un mot et sans guide pour les explications. On improvisera grâce à la Toile et aux photocopies du lonely Planet.
La Boca:
Lorsque je parle à Fabienne d’aller voir La Boca, il faut se rendre à l’évidence, parler de Messi dans ce lieu mythique du football mondial, entraine chez elle une augmentation notable et bilatérale de la surface oculaire et j’ai droit à la question qui ferait mourir de rire tous les supporters du café des sports (« le Messie , mais c’est à Noël, ça non ? »).Passons.
Le manque de temps ne nous fera pas fouler ce gazon mythique.
Caminito
C’est un lieu qu’il vaut mieux prendre en photo que de s’y promener, car à part ces tôles ondulées multicolores (très belles au demeurant) c’est plutôt le piège à touristes.
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Le parcours dans la ville
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La ville présente aussi des immeubles modernes qui s’intègrent des fois difficilement, mais bon.
Ici une pub pour un gel douche qui nous a fait bien marrer mais moins le gars en dessous lorsqu’il s’est apercu qu’il était sous le tube…
l’Obelisco situé sur l’Avenue 9 de Julio et l’édifice Kavanagh qui rappelle les tours new-yorkaises
La Torre de Los Ingleses, le big ben de Buenos , le musée national de bellas artes qui doit être très bien lorsqu’il est ouvert (…) et le theatro colo
La « floralis generica » la fleur en alu qui s ‘ouvre avec le soleil , le planétarium et Puerto Madere (voir plus loin)
et l’avenue du 9 juillet avec 11 voies côte à côte ( jamais vu aussi large !)
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cimentario del ricoleta
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On décide de visiter la cimenterie de Ricoleta ( non je plaisante c’est le cimetière de Buenos)
C’est comme un petit village avec ses rues, ses chats, on peut s’y perdre mais il faut reconnaitre que c’est très calme.
C’est là que sont enterrées les personnalités importantes du pays ( présidents, généraux,etc…) qui visiblement ont les Pesos pour se payer un caveau;
(Remarquez nous on peut aussi se payer un caveau et quand on y ressort on est souvent bourré et pas si loin de l’horizontal ….)
Ici la tombe d’un illustre mais inconnu français, dont la tombe a été amputée sur la droite par un voisin envahisseur.
Celle du général Lanusse dont le nom nous a fait bien marrer.
Celle de Rufina Cambaceres dont l’histoire fait froid dans le dos. Souffrant de catalepsie, la jeune fille fut enterrée à l’âge de 19 ans par erreur et mourut d’asphyxie.
Ici de magnifiques vitraux qui permet à son propriétaire de passer le temps plus agréablement; on est d’ailleurs un peu mal à l’aise d’autant que les cercueils sont parfaitement visibles et je suppose parfaitement étanches ( enfin j’espère)
La tombe la plus visitée est celle d’Evita Peron qui mourut jeune à 33 ans d’un cancer de l’utérus : le corps fut transporté secrètement en Italie au moment du coup d’état contre son mari, puis ramené en Argentine grâce au général….Lanusse évidemment.
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Le japanèse garden
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Le japanèse garden, qui n’a rien d’argentin mais il fait tellement beau cet après-midi qu’on se laisse séduire
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Puerto Madere
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Magnifique ballade sur les anciens quais de Buenos avec le pont des « mujeres » appelés ainsi à cause du pic symbolisant la persécution méthodique envers la gente féminine et avec un très beau voilier.
Et puis hop on se paye un petit Alfajores
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Tango
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Soirée tango : on se retrouve chez Armino Marzin célèbre compositeur de tango argentin. A la bouffe très Bof, succède un spectacle très argentin: il y d’ailleurs une grande majorité d’ autochtones chez Armino. On ne comprend rien aux paroles : à mon avis, il s’agit presque toujours dans les chansons des relations agitées, orageuses, romantiques mais toujours très empruntées de profondeurs et de nostalgies entre l’argentin et sa femme, sa maîtresse, son amie,etc…Mais le plaisir est surtout visuel: les femmes sont là les maîtres de la danse et monopolisent par leur sensualité l’attention d’un public masculin (dont moi ) forcément envoûté.
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